On peut se cacher dans une cabane bien intégrée au fond de la forêt profonde.
C'est un rêve de gosse. L'école buissonnière, on vit de la chasse et de la cueillette et personne pour vous dire ce que vous devez faire ou ne pas faire.
Bon notez que c'est complètement utopique : avec les satellites qui envoient les images à Google Earth, qui les donne à voir à tout un chacun sur son ordinateur ou sa tablette ou même sur son téléphone, il n'y a plus un seul endroit sur terre où l'on pourrait être tranquille, isolé, non vu.
Il ne faut pas grand chose pour commencer à rêver avec les cabanes : un petit coin de nature, quelques planches, des arbres...
mercredi 16 novembre 2011
samedi 5 février 2011
Mes cabanes en planches
Dans mes cabanes, on n'a pas de clé pour ouvrir la porte, d'ailleurs, s'il y a une porte, elle n'est jamais fermée.
Connaissez-vous un oiseau qui fait son nid avec une porte et qui la ferme ?
Ce n'est pas naturel...
D'accord on a droit à des courants d'air... Mais vous avez déjà comparé le parfum des feuilles de septembre quand on est au milieu des branches, avec les odeurs artificielles et polluées de nos cités urbaines ?
Dans mes cabanes, les troncs d'arbres organiques et irréguliers jouent avec les planches de bois scié géométrique et bien ordonnées. Ce qui s'oppose coopère comme dit l'autre.
Les couleurs ne sont ni rouge ni jaune ni bleu ni vert... Elles sont en gris coloré, comme dans les tableaux de Corot. On ne les voit pas de loin, rien de clinquant... Rien de camouflé non plus, on n'est pas à la chasse ni à la guerre. On est en paix et on rêve.
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